Le Premier ministre japonais Fumio Kishida et son Parti libéral-démocrate (LDP) au pouvoir ont dirigé la stratégie Web3 du pays ainsi qu’une multitude de réglementations et de plans pour le secteur de la cryptographie. Un scandale de corruption majeur est cependant de mauvais augure pour Kishida et pour l’avenir du parti, laissant les progrès du pays en matière de cryptographie sur des bases incertaines.